" Descendons ensemble dans la rue pour faire reconnaître qu'un droit à l'avortement n'existe pas ! "

La Marche pour la Vie demande :

  • L’arrêt de la Cour suprême des États-Unis, 40 ans après Roe v. Wade, a renversé sa décision erronée et a clairement reconnu que le droit constitutionnel à l’avortement n’existe pas. Les États-Unis nous donnent à tous un grand espoir ; mais nous, en Belgique, pouvons nous attendre à un activisme (public) pour faire reconnaitre l’avortement comme un droit constitutionnel. En effet, une proposition d’inscrire un droit à l’avortement dans notre constitution a déjà été déposée à la table du législateur constitutionnel. En France, d’ailleurs, c’est la même chose. Descendons ensemble dans la rue pour faire reconnaître qu’un droit à l’avortement n’existe pas et pour demander que notre attention soit portée sur des moyens clairs et concrets qui placent au centre de vraies solutions pour la femme et son enfantà naître.

 

  • Non seulement la vie à naître est sous pression, mais la vie de nos personnes âgées et malades est également d’autant plus méprisée. Cependant, la Cour européenne des droits de l’homme a condamné la Belgique en 2022 pour une violation du droit à la vie en raison d’un contrôle a posteriori inefficace des cas d’euthanasie. Nous demandons que le parlement belge réforme enfin la commission d’évaluation de l’euthanasie, ce que la Marche pour la vie demande depuis des années, et qu’il s’abstienne de nouvelles extensions de la loi, par ex. l’euthanasie pour les personnes atteintes de démence.

 

  • Il y a quelques années, la gestation pour autrui était encore condamnée par le Parlement européen, mais récemment des tentatives ont été faites pour imposer la gestation pour autrui à tous les États membres de l’Union européenne en obligeant chaque pays à reconnaitre la filiation par GPA établie dans un autre État membre (où cela est permis par la loi). La Commission européenne essaie d’étendre ses propres pouvoirs et nous demandons donc à la Commission de s’en abstenir, et nous demandons au Parlement belge, au contraire, de préciser que toute GPA est une violation des droits de l’enfant et des principes de l’indisponibilité et la noncommercialisation du corps humain.

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